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23% des nouvelles découvertes de séropositivité concernent les plus de 50 ans.
*Ces témoignages sont des extraits de véritables histoires de personnes séropositives aidée grâce à Sidaction. Dans le souci de préserver sa vie privée, son prénom et sa photo ont été changés.
Nous sommes tous concernés par le VIH
Philippe* a découvert sa séropositivité en 1998. Il a dû faire face à de gros problèmes de santé : une maladie rare du cerveau et un cancer.
Les personnes qui vieillissent avec le VIH sont confrontées à de nombreuses pathologies associées. Le soutien de la recherche est essentiel pour les prévenir et les prendre en charge.
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24 000 personnes vivraient avec le VIH sans le savoir, en France.
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Le VIH ne fait aucune distinction entre celles et ceux qu’il frappe.
Rejetée par ses proches du fait de sa séropositivité, Patricia* a frôlé la mort suite à une grave co-infection. Affaiblie, elle a perdu son emploi et s’est retrouvée à la rue, avec sa fille.
L’association Ikambere, soutenue par Sidaction, leur a permis d’être hébergées, de manger tous les jours à leur faim et de reprendre pied.
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15% des découvertes de séropositivités concernent les jeunes de 18 à 24 ans.
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Aujourd’hui comme hier, le VIH reste une menace.
Lorsque Julien* a découvert sa séropositivité, l’annonce a été violente. Il pensait qu’il existait un traitement pour guérir et n’avait pas conscience des conséquences de l’infection par le VIH.
L’Association de Lutte contre le Sida (ALS), basée à Lyon, a mis en place un programme de prévention, notamment sur les applications de rencontre les plus utilisées par les jeunes.
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